Recherche Catégories - Tout -Maximum: 25 versCanadaAvant le 21e siècle21e siècle Niveau scolaire 1e à 3e sec./7e à 9e année 4e sec. au cégep 1/10e à 12e année Trier par Au hasardNouveauxPar popularitéA -> ZZ -> A Appliquer Jean de La Fontaine Le loup et l’agneau La raison du plus fort est toujours la meilleure : Nous l’allons montrer tout à l’heure. Un Agneau se désaltérait Daria Colonna En paix et jusqu’au mur Je coupe au couteau les coins de ma bouche, je suis tout sourire. Le siècle est un souper qui se trempe, s’arrose, s’asperge, se douche, s’inonde. Francis Vielé-Griffin Étire-toi, la Vie... Étire-toi, la Vie est lasse à ton côté — Qu'elle dorme de l'aube au soir, Belle, lasse Roger Dorsinville Pour célébrer la terre Pour célébrer la terre hors de la nuit Vaste et fraîche Mille rayons clairs debout Akena Okoko Cadeau de Noël II y a un système aux États-Unis Permettant aux jeunes athlètes Qui ne finissent pas le high school Avec des assez bonnes notes pour être admis à l’université De faire une année de plus René Lapierre Nous étions là toutes les quatre... Nous étions là toutes les quatre, Gillian, Jayne, Laurence, et Mazzie s’est amenée avec deux garçons de l’East Side. Laurent Fadanni du voyage dont je reviens... du voyage dont je reviens je ne ramène ni souvenirs ni photographies juste une évidence j’ai revécu la création de l’univers et l’évolution de toutes les espèces Victor Hugo Clair de lune La lune était sereine et jouait sur les flots. — La fenêtre enfin libre est ouverte à la brise, La sultane regarde, et la mer qui se… Chloé Savoie-Bernard prévision météorologique samedi soir une fois encore des filles fumées jusqu’au filtre des filles fleurs en manque de pollen Marie-Claire Bancquart Il y a des mots meurtris... Il y a des mots meurtris devant la porte n’ouvre pas ils sont amoncelés, ils tomberaient en désordre certains montent encore l’escalier Lise Gaboury-Diallo transitions je les ai déjà ces mots qui écorchent trichent calfeutrés sous ma langue like what do you mean nothing bien sûr nada c’est juste moi qui se tait cet amuïssement Elvire Maurouard Dames Sarah Nous Dames Sarah ! Nous sommes les pêcheurs de lune ;… Jérôme Melançon Vaguelettes le huard... Vaguelettes le huard, la chaufferette qui r’semble à un toaster comme un début d’fin d’lac par une vitre trop épaisse l’impression d’un temps qui passe comme un pédalo quand j’veux ramer tu-seul pour ervoir les quenouilles Marie-Ève Comtois Je voudrais voir la mer… je voudrais voir la mer un jour d’été je rêve de roches sur la terre d’outardes sur le gazon c’est beau en bicyclette croiser des écureuils blancs c’est beau la pluie tombe François Charron La mort du poème La faim me réclame, la faim incommensurable, la faim excitée par le flottement continu des étoiles. Elle vient, ma faim, empourprer mes veines afin de dessiner le bonheur après la tristesse. Mais le bonheur comme Pierre Nepveu Dernière visite à Mirabel Maintenant j’avance sur un terrain miné, l’espace m’a tout enlevé et je reprends là où chaque pierre pourrait exploser Denise Boucher Je viens comme une mante religieuse... Je viens comme une mante religieuse dévorer le sur-mâle le héros le surhomme et aspirer ta hache de guerre ô homme j’ai la démarche effrontée des pécheresses mes vastes hanches sont les berceaux Andrée Chedid Qui suis-je ? Qui je suis Je l’ignore !… Rachel Leclerc Et je ne sais plus... Et je ne sais plus le temps qu’il fait ni de quelle saison nous tirons ces jours, je crois qu’il fait de grands escaliers de bois France Mongeau dans l’immobilité de l’après-midi… dans l’immobilité de l’après-midi bêtes et hommes endormis aux fougères le grésillement de l’air emprisonne nos paroles cette langue nouvelle s’agrippe aux parois Paul Chanel Malenfant Ma grand-mère a murmuré... Ma grand-mère a murmuré : Ton grand-père est vieux comme le chemin. Seul dans sa chambre, il lit le journal. Je voudrais le bercer, petit corps Geneviève Morin Seule la beauté nous sauvera de nous-mêmes Nos os puent l'humidité des dizaines de petits vers blancs circulent dans nos foies des vers très vigoureux qui n'hésiteraient pas à grimper le long des jambes du promeneur Louise Desjardins Je ferme les yeux... Je ferme les yeux Un rayon de soleil Pénètre mes paupières Infrarouge Un filet de sang Fait son chemin Hors de moi Chaque fois Mélanie Landreville Ici m’arrive... Hector de Saint-Denys Garneau Portrait C’est un drôle d’enfant C’est un oiseau Il n’est plus là Claudine Bohi Passage du mot cela déchire rassemble au même lieu et dans le même temps Émile Nelligan Soir d’hiver Ah ! comme la neige a neigé ! Ma vitre est un jardin de givre. Ah ! comme la neige a neigé ! Évelyne Ménard un souvenir se déboutonne... un souvenir se déboutonne soirée au resto j'avale une crise de panique avant mes pâtes ma sueur fait de la nappe un dessin à colorier où je dépasse les lignes Marc André Brouillette silvia b r n s p rv ll (extrait) l'horizon est un alphabet que la main n'a pas encore touché de sa solitude se condense un silence capable de recoudre les voix nocturnes égarées entre les langues le corps page transparente Louise Marois Géométrie de l’oeil lorsque je te dessine je se dépose emploie la cuisine le salon pour ce que je voudrais multiplier tu portes habits d'étincelles sur la pointe des pieds Pagination « First Première page ‹ Previous Page précédente … 6 7 8 9 10 11 12 13 14 Langue Français