Recherche Catégories - Tout -Maximum: 25 versCanadaAvant le 21e siècle21e siècle Niveau scolaire 1e à 3e sec./7e à 9e année 4e sec. au cégep 1/10e à 12e année Trier par Au hasardNouveauxPar popularitéA -> ZZ -> A Appliquer Mélanie Landreville Ici m’arrive... Louis-Philippe Dalembert là dans la torpeur là dans la torpeur de la cour nous aurions arrosé le riz de senteurs de haricots ou de champignons noirs de membres de gallinacées et d’effluves de citronnelle Maurice Maeterlinck Âme de nuit Mon âme en est triste à la fin ; Elle est triste enfin d’être lasse, Elle est lasse enfin d’être en vain, Alain Grandbois Est-ce déjà l’heure... Est-ce déjà l’heure Ma tendre peur Est-ce l’heure l’heure Denise Desautels La déferlante... La déferlante du deuil ne se relâche pas. La stopper. Revisiter la vie et mon regard sur elle. M'enthousiasmer pour elle. L'occuper jusque dans Timothée-William Lapointe Le skatepark des clowns Attention à ta tête attention à tes coudes soyons alertes car nous entrons en haut lieu de perdition un endroit assez effrayant pour que Günter n’y ait jamais mis les pieds Catulle Mendès Le marché de la Madeleine Debout ! le soleil caresse nos draps. Que ne suis-je né près de Mytilène ! Allons respirer l’odeur des cédrats Georgette LeBlanc dehors il y a point deux prusses pareils à la côte ils poussont tordus comme des vieux ou des malades Sylvie Bérard Dans un monde parallèle... Dans un monde parallèle vous ne m’avez pas trahie Les moments ont continué de se traduire Chaque page et ses correspondances Dans ce monde il est resté des lits De mon côté Les antipodes n’ont pas exercé leur force Jean Désy Dieu tout au bout Dieu tout au bout de soi-même, quand éclate l’écorce et que les laves coulent de source. Dieu des ruptures de glace et des bas-fonds généreux. … Catherine Pozzi Ave Très haut amour, s’il se peut que je meure Sans avoir su d’où je vous possédais, En quel soleil était votre demeure Pierre Morency Ballade du temps qui va Comme ruisseaux mes amis vont le temps s’en va comme rivière… Alexis Lefrançois rencontré le lilas... rencontré le lilas rencontré la nana salut lilas salut nana mangé le lilas mangé la nana Rita Mestokosho La bibliothèque de la terre | Assi umashinaikana Mon peuple écrivait en marchant mon peuple écrivait sur la ligne de la mémoire de cette façon, son bagage était moins lourd il avait la bibliothèque de la terre avec lui Anne Hébert L’ange gardien L’ange qui marche obstinément derrière toi D’un soleil … Gérald Godin Cantouque du mauvais jour Par Saint-Titiphore du branle-bas et la taverne du coin par la draffe d’air et celles qu’on boit Michel Pleau Devenir quand on pousse la porte quand on sort enfin de l’ombre collée à la peau on trouve sous nos pas ce qu’il faut de clarté pour avancer l’espace est immense Joséphine Bacon Je ne me souviens pas toujours | Apu nanitam ntshissenitaman Je ne me souviens pas toujours D’où je viens Dans mon sommeil, Mes rêves me rappellent qui je suis jamais mes origines ne me quitteront. Célyne Fortin Ma maman ou ce qui en reste… Ma maman ou ce qui en reste n’est pas au ciel mais dans la terre. Et si on la retrouve au ciel elle fait partie d’une étoile si lointaine que même après deux éternités je ne pourrais la retrouver. Gérald Godin Cantouque des hypothéqués Les crottés les Ti-Cul les tarlas les Ti-Casse ceux qui prennent une patate Laura Doyle Péan les routes sont longues... les routes sont longues paraît-il la musique s’est arrêtée je suis sortie sans mon parapluie ai marché jusque-là où le soleil se lève rire d’émerveillement Nedjmhartine Vincent Confession Les lambeaux de notre amour mitigé Accrochés aux poutres de mes souvenirs Imprimés en moi éternellement. Rudyard Kipling Tu seras un homme, mon fils Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vieEt sans dire un seul mot te mettre à rebâtir,Ou perdre en un seul coup le gain de cent partiesSans un geste et sans un soupir ;Si tu peux être amant sans être fou d’amour, Yara El-Soueidi Conjugaison du verbe dire – pronoms masculins Tu me tapotes sur la tête en me disant que je devrais être plus sage Tu me dis que je devrais me taire et t’écouter Denis Vanier De la seconde au moment Et c'est l'automne : saison du cloaque et des ramassis, débarrassé de ce projecteur nazi qu'est le soleil des autres, je me suis pourtant défendu de collaborer, Josiane Ménard Faux-allié tu t’abreuves volontiers à ma source pour assouvir ta curiosité, intrigué par l’exotisme de mes traits, mais peu à peu, mon intuition s’affole propos déplacés, injures voilées névé dumas nous sommes venues de loin... nous sommes venues de loinpour arriver iciavec nos vertèbres et nos enclosavec nos systèmes nerveuxet nos hymnes nationauxvagabondes vers le rétrécissementnous avons frisé la folieet risqué beaucoup Martine Audet La lumière et son lieu le soleil rince la première herbe du dégel tes mains pèsent à l’endroit du cœur à la place des neiges sont légères tes mains * Pierre Nepveu Le rêve de l’arpenteur Je pressens cette terre sans arbres et pure de ne dresser aucun obstacle, et les visages eux-mêmes vidés de tout destin, Louise Dupré Il y a les larmes... Il y a les larmes des folles tristesses et des peines minuscules celles de la colère plus pointues que des couteaux plantés dans la poitrine les larmes d’impuissance si on me punit Paul-Marie Lapointe Barque funéraire barque funéraire sans rame avec le mort étendu sur une table basse Jonathan Bécotte Souffler dans la cassette Demain on va à l'aquarium. Dodo maintenant! Je battais des nageoires, Tu faisais des bulles. Dans nos pyjamas identiques. * Sous les couvertures, Simon Boulerice je pense aux arbres et à leur ancrage... je pense aux arbres et à leur ancrage je pense à ma mère juchée bancale dans la cuisine je pense aux autobus jaunes dans la cour de récré cordés en ordre pédagogique je pense à mon avenir Charles Vildrac Sans espoir de rien Sans espoir de rien, aller par les rues, C’est là un destin meilleur qu’on ne croit, À cause des allées et venues Andréane Frenette-Vallières Aujourd’hui, la mer toute proche... Aujourd'hui, la mer toute proche éclabousse la fenêtre. J’écris « aujourd’hui » à la date du jour, dans mon agenda, pour bien marquer l’instant. Je crois perdre la mémoire. Marceline Desbordes-Valmore Qu’en avez-vous fait ? Vous aviez mon cœur, Moi, j’avais le vôtre : Un cœur pour un cœur ; Michel Pleau J’avais six ans... Lorrie Jean-Louis Mon sexe est une blessure liquide... Mon sexe est une blessure liquide une armée de solitudes se dresse en moi je suis d’albâtre et d’agave des eaux charrient des misères océanes plus vieilles que moi plus fortes que moi Emné Nasereddine J’écris une lettre J’écris une lettre au pays de l’enfance l’odeur du parent aimé l’accent du village qu’on ne perd jamais je marche avec une aube pointue une allure de chien errant traversant l’autoroute Roger Dorsinville Pour célébrer la terre Pour célébrer la terre hors de la nuit Vaste et fraîche Mille rayons clairs debout Pagination 1 2 3 4 5 6 7 8 9 … Next › Page suivante Last » Dernière page Langue Français