Recherche Catégories - Tout -Maximum: 25 versCanadaAvant le 21e siècle21e siècle Niveau scolaire 1e à 3e sec./7e à 9e année 4e sec. au cégep 1/10e à 12e année Trier par Au hasardNouveauxPar popularitéA -> ZZ -> A Appliquer Alfred Desrochers Hymne au vent du Nord Ô Vent du Nord, vent de chez nous, vent de féerie, Qui vas surtout la nuit, pour que la poudrerie, Quand le soleil, vers d’autres cieux, a … France Mongeau dans l’immobilité de l’après-midi… dans l’immobilité de l’après-midi bêtes et hommes endormis aux fougères le grésillement de l’air emprisonne nos paroles cette langue nouvelle s’agrippe aux parois Anne Hébert L’ange gardien L’ange qui marche obstinément derrière toi D’un soleil … Noémie Pomerleau-Cloutier Les nervures de sa voix... les nervures de sa voix pendent au bout du fil le bûcheur n'a pas eu la job qui sauverait ses lauriers de pourvoyeur il n'a pas su dresser son tronc grêle au-dessus de la mêlée Robert Desnos L’éléphant qui n’a qu’une patte L’éléphant qui n’a qu’une patte A dit à Ponce Pilate Vous êtes bien heureux d’avoir deux mains, Jean Arceneaux Ouragan II Le vent hurle comme un énorme loup Qui bave à l’idée de manger autant de rêves. Les branches du chêne grattent le mur Comme les pattes du loup enragé. On peut entendre ses reniflements Monique Deland Devant derrière On sait qu’il y aura du sang partout. Puis, la grande immobilité. Après la casse, sur la route, si on s’approche assez pour voir, on me reconnaîtra. François Villon L’épitaphe de Villon en forme de ballade Frères humains, qui après nous vivez, N’ayez les cœurs contre nous endurcis, Car, se pitié de nous pauvres avez, Rita Mestokosho La bibliothèque de la terre | Assi umashinaikana Mon peuple écrivait en marchant mon peuple écrivait sur la ligne de la mémoire de cette façon, son bagage était moins lourd il avait la bibliothèque de la terre avec lui Pierre Nepveu Dernière visite à Mirabel Maintenant j’avance sur un terrain miné, l’espace m’a tout enlevé et je reprends là où chaque pierre pourrait exploser Charles Leconte de Lisle La prairie Dans l’immense Prairie, océan sans rivages, Houles d’herbes qui vont et n’ont pas d’horizons, Cent rouges cavaliers, sur les mustangs sauvages, François Hébert Votre état nous inquiète nous aimerions vous faire du bien vous offrir à nos frais une journée de rêve voyage payé par le poème tout compris des ortolans de l’eau turquoise cocotiers ventilateurs Odelin Salmeron Écume d’étoiles Coeur égrené, je n'aurai jamais un nom Claude Paradis Depuis les premiers mots... Depuis les premiers mots lorsque avec peine j’apprenais à occuper l’espace inlassablement je repasse dans mes pas Pierre Corneille Stances Marquise, si mon visage A quelques traits un peu vieux, Souvenez-vous qu’à mon âge Charles Baudelaire Spleen J’ai plus de souvenirs que si j’avais mille ans. Un gros meuble à tiroirs encombré de bilans, De vers, de billets doux, de procès… Jean Marc Dalpé La toune d’Hawkesbury Entre Ottawa pis Montréal, entre la métropole pis la capitale, entre des 9 à 5 comme des cercueils, avec les foremen qui t’ont à l’œil, entre les papiers du bien-être pis leur formule mal de tête, Gaston Miron La Marche à l’amour tu es mon amour ma clameur mon bramement tu es mon amour ma ceinture fléchée d’univers ma danse carrée des quatre coins d’horizon le rouet des écheveaux de mon espoir tu es ma réconciliation batailleuse Baron Marc-André Lévesque Un thé venteux il se passe trop de choses tranquilles dans ma tasse pour que je puisse toutes les remarquer le lait dans mon thé présente son numéro d’hypnose Francis Jammes Il va neiger dans quelques jours... Il va neiger dans quelques jours. Je me souviens de l’an dernier. Je me souviens de mes tristesses au coin du feu. Si l’on m’avait demandé : qu'est-ce? Ferdinand Ramuz Machine L’homme est en haut de son siège, porté magnifiquement au-dessus des choses ; la ligne qu’il trace avec ses épaules Olivia Elias n’ai rien vu de l’automne n’ai rien vu cette annéen’ai pas vu l’automne se déployerl’acacia flamboyer les gruess’envolern’ai vu que bombes & encore plus de bombes sur Gazaen flammes Carole David Dans la cuisine... Dans la cuisine ma mère recousait des ailes rapiéçait des membres ma mère était une magicienne elle faisait des costumes des armures avec des pattes des pyjamas pour chiens Mo Bolduc Another Day au lieu de sortir je m’assois fixe le bois franc de mes yeux gonflés de longues minutes mes draps sont encore tachés de ma dernière bonne baise les yeux fermés je rêve Paul Savoie Le labyrinthe Il n’y a jamais de porte entre moi et l’ombre, jamais de séparation entre tant de pas ; je marche sans cesse Pierre DesRuisseaux Le féminicide de Juarez Je suis né un jour où Dieu était malade… André Breton L’union libre Ma femme à la chevelure de feu de bois Aux pensées d’éclairs de chaleur À la taille de sablier Rita Mestokosho On the road again 2 Je crois bien sur la route, sur la mer sur mes pieds Tristan Corbière Le crapaud Un chant dans une nuit sans air... La lune plaque en métal clair Les découpures du vert sombre. Katherena Vermette respire nous inspirons l’air frais dans nos êtres suffoqués et parlons de longs mots anishnaabemowin que je trace le long de ta peau nos cicatrices étirées jusqu’aux bords Géo Norge Du temps Dans l’eau du temps qui coule à petit bruit, Dans l’air du temps qui souffle à petit vent, Dans l’eau du temps qui parle à petits mots Hector Ruiz le vent joue avec moi... le vent joue avec moi comme il parle aux feuilles tous les jours je me dirige vers le jardin de la gare je songe à l’énigme de mes gestes pense oui mais je dis non un court-cir- Vanessa Bell Allons dehors… allons dehors soyons droits mettons fin à la parole Natyot . ils roulent à 120 à l’heure... ils roulent à cent vingt à l’heuresur une route de campagneils ne sont pas prudentsils ont oublié de l’êtreils sont grisésils ont ouvert les fenêtresle vent s’engouffreet se mélange à de la musique forte Jean-Paul Daoust Lunettes de soleil Il met ses lunettes de soleil Un hijab pour son âme Pour stopper son cri de détresse Daphné B. Je lis que certaines mésanges... je lis que certaines mésanges naissent bleues avec une définition de l’amour glissante qu’elles savent décapsuler les bouteilles de bière et qu’elles vivent dans les forêts Alfred Garneau Vent du ciel Pâle, elle cria : « Jean ! » du seuil de la chaumière. Lui, chantait dans les ors lourds des épis penchants. Midi de son haleine assoupissait les… Marcela Huerta Je me réveille un dimanche... Je me réveille un dimanche et ça sent la levure chaude, alors elle doit être en train de faire du pain. Yuliya Stakhivska Quand l’ennemi débarque chez vous Quand l’ennemi débarque chez vous – il sait pertinemment que rien ne lui appartient.Dans combien de miroirs a-t-il abandonné son reflet ? Laurent Drelincourt Sur le soleil Flambeau de l’Univers, charmant Père du Jour, Globe d’or et de feu, Centre de la Lumière ; Admirable Portrait de la Cause première ; Pagination « First Première page ‹ Previous Page précédente … 4 5 6 7 8 9 10 11 12 … Next › Page suivante Last » Dernière page Langue Français