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Personne n'écoute le match
Ses hanches ondulaient au rythme des tambours. La déesse noire est morte avant qu'on puisse l'oublier. Pressées par la foule sur la grande avenue, ma grand-mère et moi attendons son cortège.
Le paysage maintenant, le paysage, voilà,
comme des langues de faim
ou des lèvres de froid ou de foule,
Je titube dans la ville en flammes
à travers le dédale de ses rues enfumées
la poussière fabuleuse des bidonvilles
Noirs dans la neige et dans la brume,
Au grand soupirail qui s’allume,
Leurs culs en rond,
Un pauvre petit grillon
Caché dans l’herbe fleurie
Regardait un papillon
J’ai pris un coup de lune
à force de veiller la naissance de l’aube
Les criquets scient le calme
Puis, ce sont les heures à la danse,
— Les hommes ont beau s’aller en peine
Les heures sont allées à la danse ;
le temps tombe
familles giboulées passereaux
Matin. Ciel bleu. Nuages légers.
La montagne. Les arbres. Les fleurs.
Le soleil derrière la montagne
Ils étaient quatre qui n’avaient plus de tête,
Quatre à qui l’on avait coupé le cou,
On les appelait les …
I’ bruinait... L’temps était gris,
On n’voyait pus l’ciel... L’atmosphère,
Semblant suer au d’ssus d’Paris,
Frères humains, qui après nous vivez,
N’ayez les cœurs contre nous endurcis,
Car, se pitié de nous pauvres avez,
Lorsque avec ses enfants vêtus de peaux de bêtes,
Échevelé, livide au milieu des tempêtes,
Caïn se fut enfui de devant Jéhovah,