Recherche Catégories - Tout -Maximum: 25 versCanadaAvant le 21e siècle21e siècle Niveau scolaire 1e à 3e sec./7e à 9e année 4e sec. au cégep 1/10e à 12e année Trier par Au hasardNouveauxPar popularitéA -> ZZ -> A Appliquer Catherine Pozzi Vale La grande amour que vous m’aviez donnée Le vent des jours a rompu ses rayons — Où fut la flamme, où fut la destinée Valery Larbaud Ode Prête-moi ton grand bruit, ta grande allure si douce, Ton glissement nocturne à travers l’Europe illuminée, Ô train de luxe ! et l’angoissante musique Charles Vildrac Sans espoir de rien Sans espoir de rien, aller par les rues, C’est là un destin meilleur qu’on ne croit, À cause des allées et venues Robert Sabatier L’éternité sera bien assez longue J’entre et je sors de moi-même souvent, Je me demande audience parfois, Je me rencontre en de noirs corridors, Frankétienne - Je m’envertige Que pourrais-je écrire que l’on ne sache déjà ? Que devrais-je dire que l’on n’ait déjà entendu ? J’écoute ma voix baroque dans le miroir enflé de litanies sauvages. Gaston Tremblay L’été indien Quatre canards dans le lac Et Douze chasseurs dans les roseaux Laurent Fadanni du voyage dont je reviens... du voyage dont je reviens je ne ramène ni souvenirs ni photographies juste une évidence j’ai revécu la création de l’univers et l’évolution de toutes les espèces Éric Charlebois Blanc J’écris comme on consulte un album de photos une photographie, c’est l’existence au plus-que-parfait du subjonctif à l’imparfait du subversif, du disjonctif René Philombe Tombe des morts ! Tombe des Morts ! Encore cette odeur de sang sous mon ciel Innocent. Nadine Fidji Gorée Ma douleur est aux sources de mon exil Il y eut sur cette île sang brûlé… Pierre-Louis Matthey Connaissance Tel que je suis, dans la livide lumière, Tel que j’écris, mouillé d’un jour lunaire, l’ombre longue de ma main glissant sur le feuillet, Jovette Bernier J’abdique tout Je ne suis plus qu’un peu de chair qui souffre et saigne. Je ne sais plus lutter, j’attends le dernier coup, Le coup de grâce et de pitié que le sort daigne Aimé Césaire dorsale bossale il y a des volcans qui se meurent il y a des volcans qui demeurent il y a des volcans qui ne sont là que pour le vent Michel Garneau Assis sur la muraille... assis sur la muraille en fleur de mes limites je regarde sérieusement dans son moment donné oh le cadeau de vent woups l’allure de l’éternité Jacques Rancourt Les carrés de l’hypoténuse Si a et b sont au carré si la neige s’additionne avec la pluie et que mon ombre m’accompagne dans la nuit Normand de Bellefeuille J’écris dans le seul dans le seul écrire dans le seul le seul bien plus que la solitude Marie Uguay Maintenant nous sommes assis maintenant nous sommes assis à la grande terrasse où paraît le soir et les voix parlent un langage inconnu de plus en plus s’efface la limite entre le ciel et la terre Juan Garcia Je ne veux pas mourir Je ne veux pas mourir comme on meurt en novembre avec ce rien de nuit qui nous remplit les yeux et cette fin du monde au bout de nos regards Francis Vielé-Griffin Chanson J’ai pris de la pluie dans mes mains tendues — De la pluie chaude comme des larmes — Je l’ai bue comme un philtre, défendu Paul Verlaine Grotesques Leurs jambes pour toutes montures, Pour tous biens l’or de leurs regards, Par le chemin des aventures Jules Supervielle Le relais Petite halte dans la nuit Où le sommeil s’en va sans bruit De mes paupières relevées. Pamphile LeMay Fruits mûrs C’est août qui flambe. Au bois comme au champ tout est mûr. Le sauvage raisin offre son jus qui grise ; Le soleil a pourpré la pomme et la cerise ; Alfred Garneau Mon insomnie Mon insomnie a vu naître les clartés grises. Le vent contre ma vitre, où cette aurore luit, Souffle les flèches d’eau d’un orage qui fuit. Paul Éluard Liberté (extrait) Sur mes cahiers d’écolier Sur mon pupitre et les arbres Sur le sable sur la neige Robert Desnos J’ai tant rêvé de toi J’ai tant rêvé de toi que tu perds ta réalité. Est-il encore temps d’atteindre ce corps vivant et de baiser sur cette bouche la naissance de la voix qui m’est chère ?… Rachel Leclerc Et je ne sais plus... Et je ne sais plus le temps qu’il fait ni de quelle saison nous tirons ces jours, je crois qu’il fait de grands escaliers de bois Lucie Julia Faims cachées Je connais de la vie Ce qu’on ne veut point dire Je sais toute la sève coulée au cours des jours. Abdellatif Laâbi Migration Fès, mamie mon imprécatrice chauve aux talons gercés dans la boue de l’hiver Marie-Célie Agnant Poème de ma mère la vie avait jeté des paillettes dans ses yeux elle confondait dès lors le soui-manga et l’aigle Jacqueline Tanner La Maryssée En amont la nuit Ils sont entrés dans le café du port Pierre Nepveu Dernière visite à Mirabel Maintenant j’avance sur un terrain miné, l’espace m’a tout enlevé et je reprends là où chaque pierre pourrait exploser Pierre Nepveu Dernière visite à Mirabel Maintenant j’avance sur un terrain miné, l’espace m’a tout enlevé et je reprends là où chaque pierre pourrait exploser Pierre Nepveu Dernière visite à Mirabel Maintenant j’avance sur un terrain miné, l’espace m’a tout enlevé et je reprends là où chaque pierre pourrait exploser Pierre Nepveu Dernière visite à Mirabel Maintenant j’avance sur un terrain miné, l’espace m’a tout enlevé et je reprends là où chaque pierre pourrait exploser Pierre Nepveu Le rêve de l’arpenteur Je pressens cette terre sans arbres et pure de ne dresser aucun obstacle, et les visages eux-mêmes vidés de tout destin, Denise Desautels de futurs souvenirs j’en veux encore, toujours plus, insatiable je veux les remuer à la pelle Robert Choquette Nocturne Je t’attends, ma mignonne au profil de camée. Quand nous serons ensemble et… Claude Ber de peine et de colère Me voilà je suis là et je dis me voilà me voilà pleine de peine et de colère Louis-Philippe Hébert Un adjectif pour le sable L’… Louis-Philippe Hébert C’est la guerre! C’est la guerre c’est très excitant… Pagination « First Première page ‹ Previous Page précédente … 6 7 8 9 10 11 12 13 14 Next › Page suivante Last » Dernière page Langue Français