Recherche Catégories - Tout -Maximum: 25 versCanadaAvant le 21e siècle21e siècle Niveau scolaire 1e à 3e sec./7e à 9e année 4e sec. au cégep 1/10e à 12e année Trier par Au hasardNouveauxPar popularitéA -> ZZ -> A Appliquer Gaston Tremblay L’été indien Quatre canards dans le lac Et Douze chasseurs dans les roseaux René Philombe Tombe des morts ! Tombe des Morts ! Encore cette odeur de sang sous mon ciel Innocent. Guillaume Apollinaire Un oiseau chante Un oiseau chante ne sais où C’est je crois ton âme qui veille Parmi tous les soldats d’un sou Assia Djébar Un pays sans mémoire Un pays sans mémoire est une femme sans miroir Belle mais qui ne le saurait pas Un homme qui cherche dans le noir Elkahna Talbi Le rituel de grand-mère… Le rituel de grand-mère débute avec l’eau sur les pieds les mains les avant-bras le visage elle répète trois fois avec un soupçon de Dieu est grand savon invisible Andrée Lacelle Au bout du quai... Au bout du quai déjà ce n’est plus la terre Odelin Salmeron Écume d’étoiles Coeur égrené, je n'aurai jamais un nom Yambo Ouologem Ni connu ni cru Ni connu ni cru Ni compris ni cherché Oui Chantal Ringuet Dans la chambre... dans la chambre porte entrebâillée un courant d’air nous rassemblons nos cailloux nos vêtements nos incarnations — dans nos poches des miettes de pain Mohammed Dib Contre-Jour Les oiseaux apparaissent, S’allume une flamme Et c’est la femme ; Natasha Kanapé Fontaine Ma terre je la prendrai... Ma terre je la prendrai dans ma main je la soignerai avec un pan ma jupe essuiera ses larmes noires mes cheveux ses joues creuses je la bercerai en ses tremblements je ne dors plus Pierre Nepveu Dernière visite à Mirabel Maintenant j’avance sur un terrain miné, l’espace m’a tout enlevé et je reprends là où chaque pierre pourrait exploser Jean Lahor Le poème Le soleil est ma chair, le soleil est mon cœur, Le cœur du ciel, mon cœur saignant qui vous fait vivre, Le soleil, vase d’or, où fume la liqueur Camille Readman Prudhomme Moi mon allure... moi mon allure est plus régulière que je ne le suis. Jean-Paul Daoust Fantôme J’avais un fantôme dans le cœur Sans cesse je murmurais son nom Une prière pour nous exorciser Laurent Drelincourt Sur le soleil Flambeau de l’Univers, charmant Père du Jour, Globe d’or et de feu, Centre de la Lumière ; Admirable Portrait de la Cause première ; Erika Soucy je n’arrive pas à faire... je n’arrive pas à faire comme dans les livres arlequins parce qu’il y avait tes chansons qui berçaient les cadavres tqs dans le noir Baron Marc-André Lévesque Un thé venteux il se passe trop de choses tranquilles dans ma tasse pour que je puisse toutes les remarquer le lait dans mon thé présente son numéro d’hypnose Marie-Célie Agnant Poème de ma mère la vie avait jeté des paillettes dans ses yeux elle confondait dès lors le soui-manga et l’aigle Claude Ber de peine et de colère Me voilà je suis là et je dis me voilà me voilà pleine de peine et de colère Guy Goffette Les portes de la mer La mer quand elle a fait son lit sous la lune et les étoiles et qu’elle veut sombrer tout à fait dans le sommeil ou dans l’extase Lula Carballo Ses hanches ondulaient... Ses hanches ondulaient au rythme des tambours. La déesse noire est morte avant qu'on puisse l'oublier. Pressées par la foule sur la grande avenue, ma grand-mère et moi attendons son cortège. Abdellatif Laâbi Migration Fès, mamie mon imprécatrice chauve aux talons gercés dans la boue de l’hiver Daphné B. Lorsqu’on abandonne tout... Lorsqu'on abandonne tout, on veut aussi laisser son nom derrière. Il y a longtemps, j'ai connu un Dragon qui voulait changer son nom pour Pierre. Il était concierge au club de tennis où je travaillais. Omar Alexis Ramos Mictlán Aquí hay un cúmulo de oraciones agónicas que arden en la garganta como el tequila amargo. En Mictlán hubo cosecha de calaveras en flor arrasadas con el soplo de la verdad ramos de luz violenta Mélissa Labonté je repense à mon pantalon noir préféré... je repense à mon pantalon noir préféréoublié dans la cabine d’une piscine d’Islandefragment laissé derrière penduà son crochet – doublure froide veillantl’espace, tolérant les insectes nocturnes Renée Gagnon Steve McQueen (mon amoureux) et puis t’aimes pas les mots tu les connais pas souvent tu sais pas ce qu’ils veulent dire y’a tout un genre de mots que tu veux pas entendre ou dire les mots à trois syllabes Rosalie Lessard Retour aux oiseaux Si l’on s’arrête à cette photo Si l’on mesure les époux Deux fois grands Comme les mariées de neuf ans Si l’on regarde leurs regards Comme le souhaite la photographe Marie Uguay Maintenant nous sommes assis maintenant nous sommes assis à la grande terrasse où paraît le soir et les voix parlent un langage inconnu de plus en plus s’efface la limite entre le ciel et la terre Catherine Pozzi Ave Très haut amour, s’il se peut que je meure Sans avoir su d’où je vous possédais, En quel soleil était votre demeure Chloé Savoie-Bernard prévision météorologique samedi soir une fois encore des filles fumées jusqu’au filtre des filles fleurs en manque de pollen François de Malherbe Dessein de quitter une dame qui ne le contentait que de promesse Beauté, mon beau souci, de qui l’âme incertaine A comme l’Océan son flux et son reflux : Pensez de vous résoudre à soulager ma peine, Anna Babi Ils sont nos pères... Ils sont nos pères, tapis dans l’obscuritéde couloirs dont nous ne savons plus les couleursils prennent la forme de lépismesou de monstres dont nous sommes fièresils sont les pères que nous avons eusplus grands que nous Marie Lefranc N’entasse pas les fleurs Nathalie Watteyne Neige Bleue était la neige comme la ville et les mains qui échappent tant et tant de rires pour toi j’aurais voulu parler toute la nuit que tombe et retombe la neige sans dire au revoir jamais Victor Hugo Ô jeunes gens… Ô jeunes gens ! Élus ! Fleurs du monde vivant, Maîtres du mois d’avril et du soleil levant, N’écoutez pas ces gens qui disent : soyez sages ! Auguste Brizeux Le lézard Avec une jeune veuve, Tendre encor, j’en ai la preuve, Parlant breton et français : Anthony Phelps J’ai pris un coup de lune J’ai pris un coup de lune à force de veiller la naissance de l’aube Les criquets scient le calme Charles Cros Le hareng saur Il était un grand mur blanc - nu, nu, nu, Contre le mur une échelle - haute, haute, haute, Et, par terre, un hareng saur - sec, sec, sec. André Chénier La jeune Tarentine Pleurez, doux alcyons ! ô vous, oiseaux sacrés, Oiseaux chers à Thétis, doux alcyons, pleurez ! Elle a vécu, Myrto, la jeune Tarentine… Pagination 1 2 3 4 5 6 7 8 9 … Next › Page suivante Last » Dernière page Langue Français