Recherche Catégories - Tout -Maximum: 25 versCanadaAvant le 21e siècle21e siècle Niveau scolaire 1e à 3e sec./7e à 9e année 4e sec. au cégep 1/10e à 12e année Trier par Au hasardNouveauxPar popularitéA -> ZZ -> A Appliquer Géo Norge La grande brosse Ce sera La grande Brosse. Plus de rats Jacques Rancourt Granit après la pluie Pierre contre pierre épouse contre époux nous nous sommes prêté force Joachim Du Bellay L’olive Si notre vie est moins qu’une journée En l’éternel, si l’an qui fait le tour Chasse nos jours sans espoir de retour, Robert Choquette Nocturne Je t’attends, ma mignonne au profil de camée. Quand nous serons ensemble et… Hugh Hazelton la danseuse nous regardons la danseuse Marcela Huerta Je me réveille un dimanche... Je me réveille un dimanche et ça sent la levure chaude, alors elle doit être en train de faire du pain. Catherine Pozzi Ave Très haut amour, s’il se peut que je meure Sans avoir su d’où je vous possédais, En quel soleil était votre demeure Alfred Garneau Mon insomnie Mon insomnie a vu naître les clartés grises. Le vent contre ma vitre, où cette aurore luit, Souffle les flèches d’eau d’un orage qui fuit. Guy Goffette Les portes de la mer La mer quand elle a fait son lit sous la lune et les étoiles et qu’elle veut sombrer tout à fait dans le sommeil ou dans l’extase René Lapierre Nous étions là toutes les quatre... Nous étions là toutes les quatre, Gillian, Jayne, Laurence, et Mazzie s’est amenée avec deux garçons de l’East Side. Guillaume Apollinaire Si je mourais là-bas... Si je mourais là-bas sur le front de l’armée Tu pleurerais un jour ô Lou ma bien-aimée Et puis mon souvenir s’éteindrait comme meurt Auguste Brizeux Le lézard Avec une jeune veuve, Tendre encor, j’en ai la preuve, Parlant breton et français : Charles Baudelaire L’invitation au voyage Mon enfant, ma sœur, Songe à la douceur D’aller là-bas vivre ensemble ! Paul Claudel L’esprit et l’eau Après le long silence fumant, Après le grand silence civil de maints jours tout fumant de rumeurs et de fumées, France Daigle Sur les traces de Marianne Godbout, cordonnière et savetière cuir rouge peau verte soupe aux pois jaunes du Québec Jules Supervielle Le relais Petite halte dans la nuit Où le sommeil s’en va sans bruit De mes paupières relevées. Paul Éluard Liberté (extrait) Sur mes cahiers d’écolier Sur mon pupitre et les arbres Sur le sable sur la neige Jean Dominique J’ai lu que les poètes, en Chine J’ai lu que les poètes, en Chine, sont très doux. Et qu’il y en a un qui est mort de la lune ; Et les Chinois ne disent pas qu’il était fou Maurice Maeterlinck Âme de nuit Mon âme en est triste à la fin ; Elle est triste enfin d’être lasse, Elle est lasse enfin d’être en vain, Jean de La Fontaine Le loup et l’agneau La raison du plus fort est toujours la meilleure : Nous l’allons montrer tout à l’heure. Un Agneau se désaltérait Paul Verlaine Je ne sais pourquoi... Je ne sais pourquoi Mon esprit amer D’une aile inquiète et folle vole sur la mer. Jean Royer Nos corps habitables Toi mon aube déliée des brumes… Rina Lasnier L’arbre J’avais un grand arbre vert Où nichait mon enfance ailée, Un arbre grand troué de lumière Jean Lahor Le poème Le soleil est ma chair, le soleil est mon cœur, Le cœur du ciel, mon cœur saignant qui vous fait vivre, Le soleil, vase d’or, où fume la liqueur Aimé Césaire dorsale bossale il y a des volcans qui se meurent il y a des volcans qui demeurent il y a des volcans qui ne sont là que pour le vent Pamphile LeMay Le castor et le loup-cervier Un castor, bon enfant, un jour prêta l’oreille Aux paroles d’un loup-cervier. Il s’agissait d’éteindre une haine bien vieille Jean-Pierre Claris de Florian Le grillon Un pauvre petit grillon Caché dans l’herbe fleurie Regardait un papillon Mathurin Régnier Stances Quand sur moi je jette les yeux, À trente ans me voyant tout vieux, Mon cœur de frayeur diminue ; Gilles Hénault L’enfant prodigue L’enfant qui jouait le voilà maigre et courbé L’enfant qui pleurait le voilà les yeux brûlés L’enfant qui dansait une ronde le voilà qui court après le tramway Marceline Desbordes-Valmore Qu’en avez-vous fait ? Vous aviez mon cœur, Moi, j’avais le vôtre : Un cœur pour un cœur ; Robert Desnos L’éléphant qui n’a qu’une patte L’éléphant qui n’a qu’une patte A dit à Ponce Pilate Vous êtes bien heureux d’avoir deux mains, Marie-Célie Agnant Poème de ma mère la vie avait jeté des paillettes dans ses yeux elle confondait dès lors le soui-manga et l’aigle Nérée Beauchemin La mer Loin des grands rochers noirs que baise la marée, La mer calme, la mer au murmure endormeur, Au large, tout là-bas, lente s’est retirée, Paul Valéry La fileuse Assise, la fileuse au bleu de la croisée Où le jardin mélodieux se dodeline ; Le rouet ancien qui ronfle l’a grisée. Abdellatif Laâbi Migration Fès, mamie mon imprécatrice chauve aux talons gercés dans la boue de l’hiver Valery Larbaud Ode Prête-moi ton grand bruit, ta grande allure si douce, Ton glissement nocturne à travers l’Europe illuminée, Ô train de luxe ! et l’angoissante musique Réné Guy Cadou Je t’attendais ainsi... Je t’attendais ainsi qu’on attend les navires Dans les années de sécheresse quand le blé Ne monte pas plus haut qu’une oreille dans l’herbe Medjé Vézina Matin Le coq égosillé chancelle comme un pitre. Par grands coups de clarté, le soleil cogne aux vitres Et, dans un remuement de feuillage et d’oiseaux, Célie Diaquoi-Deslandes Films Matin. Ciel bleu. Nuages légers. La montagne. Les arbres. Les fleurs. Le soleil derrière la montagne Étienne Jodelle Comme un qui s’est perdu... Comme un qui s’est perdu dans la forêt profonde Loin de chemin, d’orée et d’adresse, et de gens : Comme un qui en la mer grosse d’horribles … Pagination « First Première page ‹ Previous Page précédente 1 2 3 4 5 6 Next › Page suivante Last » Dernière page Langue Français