Recherche Catégories - Tout -Maximum: 25 versCanadaAvant le 21e siècle21e siècle Niveau scolaire 1e à 3e sec./7e à 9e année 4e sec. au cégep 1/10e à 12e année Trier par Au hasardNouveauxPar popularitéA -> ZZ -> A Appliquer Medjé Vézina Matin Le coq égosillé chancelle comme un pitre. Par grands coups de clarté, le soleil cogne aux vitres Et, dans un remuement de feuillage et d’oiseaux, Jules Supervielle Le relais Petite halte dans la nuit Où le sommeil s’en va sans bruit De mes paupières relevées. Théophile Gautier Sur les lagunes Tra la, tra la, la la, la laire ! Qui ne connaît pas ce motif ? À nos mamans il a su plaire, Paul Verlaine Il pleure dans mon cœur… Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville ; Quelle est cette langueur Aimé Césaire dorsale bossale il y a des volcans qui se meurent il y a des volcans qui demeurent il y a des volcans qui ne sont là que pour le vent Hugh Hazelton la danseuse nous regardons la danseuse Victor Hugo La conscience Lorsque avec ses enfants vêtus de peaux de bêtes, Échevelé, livide au milieu des tempêtes, Caïn se fut enfui de devant Jéhovah, Eudore Évanturel Mon ami Rodolphe Alors que je logeais, bien humble pensionnaire, Au numéro vingt-trois de ce quartier ancien, J’eus longtemps — grâce au ciel moins qu’au… Marie Lefranc N’entasse pas les fleurs Guy Goffette Les portes de la mer La mer quand elle a fait son lit sous la lune et les étoiles et qu’elle veut sombrer tout à fait dans le sommeil ou dans l’extase Albert Lozeau La poussière du jour La poussière de l’heure et la cendre du jour En un brouillard léger flottent au crépuscule. Un lambeau de soleil au lointain du ciel… Francis Jammes Il va neiger dans quelques jours... Il va neiger dans quelques jours. Je me souviens de l’an dernier. Je me souviens de mes tristesses au coin du feu. Si l’on m’avait demandé : qu'est-ce? Nérée Beauchemin La mer Loin des grands rochers noirs que baise la marée, La mer calme, la mer au murmure endormeur, Au large, tout là-bas, lente s’est retirée, Émile Verhaeren Le moulin Le moulin tourne au fond du soir, très lentement, Sur un ciel de tristesse et de mélancolie, Il tourne et tourne, et sa voile, couleur … François-Marie Arouet Voltaire À Mme du Châtelet Si vous voulez que j’aime encore, Rendez-moi l’âge des amours ; Au crépuscule de mes jours Mahmoud Darwich Carte d’identité Inscris je suis arabe le numéro de ma carte est cinquante mille j’ai huit enfants et le neuvième viendra… après l’été Te mettras-tu en colère? Inscris je suis arabe Robert Desnos L’éléphant qui n’a qu’une patte L’éléphant qui n’a qu’une patte A dit à Ponce Pilate Vous êtes bien heureux d’avoir deux mains, Jules Laforgue Complainte de la lune en province Ah ! la belle pleine Lune, Grosse comme une fortune ! La retraite sonne au loin, Jean Marc Dalpé La toune d’Hawkesbury Entre Ottawa pis Montréal, entre la métropole pis la capitale, entre des 9 à 5 comme des cercueils, avec les foremen qui t’ont à l’œil, entre les papiers du bien-être pis leur formule mal de tête, Christophe Charles Dechoukaj Je titube dans la ville en flammes à travers le dédale de ses rues enfumées la poussière fabuleuse des bidonvilles Paul Éluard Ce ne sont pas mains de géants Ce ne sont pas mains de géants Ce ne sont pas mains de génies Qui ont forgé nos chaînes ni le crime Arthur Rimbaud Ma bohème Je m’en allais, les poings dans mes poches crevées ; Mon paletot soudain devenait idéal ; J’allais sous le ciel, Muse, et j’étais ton féal ; Charles Baudelaire L’invitation au voyage Mon enfant, ma sœur, Songe à la douceur D’aller là-bas vivre ensemble ! Geneviève Amyot Comme tu sembles calme Comme tu sembles calme… André Breton L’union libre Ma femme à la chevelure de feu de bois Aux pensées d’éclairs de chaleur À la taille de sablier Aimé Césaire C’est moi-même, Terreur, c’est moi-même Les rêves échoués desséchés font au ras de la gueule des rivières de formidables tas d’ossements muets Jean de La Fontaine Le loup et l’agneau La raison du plus fort est toujours la meilleure : Nous l’allons montrer tout à l’heure. Un Agneau se désaltérait Paul Valéry La fileuse Assise, la fileuse au bleu de la croisée Où le jardin mélodieux se dodeline ; Le rouet ancien qui ronfle l’a grisée. Auguste Brizeux Le lézard Avec une jeune veuve, Tendre encor, j’en ai la preuve, Parlant breton et français : Charles Vildrac Sans espoir de rien Sans espoir de rien, aller par les rues, C’est là un destin meilleur qu’on ne croit, À cause des allées et venues Guillaume Apollinaire Un oiseau chante Un oiseau chante ne sais où C’est je crois ton âme qui veille Parmi tous les soldats d’un sou Anthony Phelps Je continue ma lente marche Je continue ma lente marche de poète à travers les forêts de ta nuit province d’ombre peuplée d’aphones Maurice Maeterlinck Hôpital Hôpital ! hôpital au bord du canal ! Hôpital au mois de Juillet ! On y fait du feu dans la salle ! Akena Okoko Cadeau de Noël II y a un système aux États-Unis Permettant aux jeunes athlètes Qui ne finissent pas le high school Avec des assez bonnes notes pour être admis à l’université De faire une année de plus Pamphile LeMay Fruits mûrs C’est août qui flambe. Au bois comme au champ tout est mûr. Le sauvage raisin offre son jus qui grise ; Le soleil a pourpré la pomme et la cerise ; Blaise Cendrars Menus Foie de tortue verte truffé Langouste à la mexicaine Faisan de la Floride Paul-Marie Lapointe Le temps tombe le temps tombe familles giboulées passereaux le temps tombe Pamphile LeMay À un vieil arbre Tu réveilles en moi des souvenirs confus. Je t’ai vu, n’est-ce pas? moins triste et moins modeste. Ta tête sous l’orage avait un noble geste, Jean Cocteau Batterie Soleil, je t’adore comme les sauvages, à plat ventre sur le rivage. Soleil, tu vernis tes chromos, Gérald Leblanc Éloge du chiac de jouer dans la langue et d’en rire d’en rêver qu’on find out qu’on communique Pagination « First Première page ‹ Previous Page précédente 1 2 3 4 5 6 Next › Page suivante Last » Dernière page Langue Français