Recherche Catégories - Tout -Maximum: 25 versCanadaAvant le 21e siècle21e siècle Niveau scolaire 1e à 3e sec./7e à 9e année 4e sec. au cégep 1/10e à 12e année Trier par Au hasardNouveauxPar popularitéA -> ZZ -> A Appliquer Ferdinand Ramuz Machine L’homme est en haut de son siège, porté magnifiquement au-dessus des choses ; la ligne qu’il trace avec ses épaules Paul Claudel L’esprit et l’eau Après le long silence fumant, Après le grand silence civil de maints jours tout fumant de rumeurs et de fumées, Jean Marc Dalpé La toune d’Hawkesbury Entre Ottawa pis Montréal, entre la métropole pis la capitale, entre des 9 à 5 comme des cercueils, avec les foremen qui t’ont à l’œil, entre les papiers du bien-être pis leur formule mal de tête, Paul Verlaine Green Voici des fruits, des fleurs, des feuilles et des branches, Et puis voici mon cœur, qui ne bat que pour vous, Ne le déchirez pas avec vos deux mains blanches Jacqueline Tanner La Maryssée En amont la nuit Ils sont entrés dans le café du port Aimé Césaire dorsale bossale il y a des volcans qui se meurent il y a des volcans qui demeurent il y a des volcans qui ne sont là que pour le vent Mahmoud Darwich Carte d’identité Inscris je suis arabe le numéro de ma carte est cinquante mille j’ai huit enfants et le neuvième viendra… après l’été Te mettras-tu en colère? Inscris je suis arabe Alfred de Musset Chanson de Barberine Beau chevalier qui partez pour la guerre, Qu’allez-vous faire … Gaston Miron Je t’écris Je t’écris pour te dire que je t’aime que mon cœur qui voyage tous les jours — le cœur parti dans la dernière neige Mathurin Régnier Stances Quand sur moi je jette les yeux, À trente ans me voyant tout vieux, Mon cœur de frayeur diminue ; Robert Choquette Nocturne Je t’attends, ma mignonne au profil de camée. Quand nous serons ensemble et… Pierre-Louis Matthey Connaissance Tel que je suis, dans la livide lumière, Tel que j’écris, mouillé d’un jour lunaire, l’ombre longue de ma main glissant sur le feuillet, Paul Savoie Le labyrinthe Il n’y a jamais de porte entre moi et l’ombre, jamais de séparation entre tant de pas ; je marche sans cesse Francis Vielé-Griffin Étire-toi, la Vie... Étire-toi, la Vie est lasse à ton côté — Qu'elle dorme de l'aube au soir, Belle, lasse Jean Désy Dieu tout au bout Dieu tout au bout de soi-même, quand éclate l’écorce et que les laves coulent de source. Dieu des ruptures de glace et des bas-fonds généreux. … Auguste Brizeux Le lézard Avec une jeune veuve, Tendre encor, j’en ai la preuve, Parlant breton et français : Émile Nelligan La romance du vin Tout se mêle en un vif éclat de gaîté verte. Ô le beau soir de mai ! Tous les oiseaux en chœur, Ainsi que les espoirs … Aristide Bruant Fantaisie triste I’ bruinait... L’temps était gris, On n’voyait pus l’ciel... L’atmosphère, Semblant suer au d’ssus d’Paris, Fabre d’Églantine L’hospitalité Il pleut, il pleut, bergère, Presse tes blancs moutons ; Allons sous ma chaumière, François Coppée Je suis un pâle enfant... Je suis un pâle enfant du vieux Paris, et j’ai Le regret des rêveurs qui n’ont pas voyagé. Au pays bleu mon âme en vain se réfugie, Yambo Ouologem Ni connu ni cru Ni connu ni cru Ni compris ni cherché Oui Hugh Hazelton la danseuse nous regardons la danseuse Hector de Saint-Denys Garneau Accompagnement Je marche à côté d’une joie D’une joie qui n’est pas à moi D’une joie à moi que je ne puis pas prendre Hector de Saint-Denys Garneau Portrait C’est un drôle d’enfant C’est un oiseau Il n’est plus là Pierre de Ronsard Amours de Marie — Que dis-tu, que fais-tu, pensive tourterelle, Dessus cet arbre sec ? — Las ! passant, je lamente. — Pourquoi lamentes-tu ? — Pour ma compagne absente, Jean Lahor Le poème Le soleil est ma chair, le soleil est mon cœur, Le cœur du ciel, mon cœur saignant qui vous fait vivre, Le soleil, vase d’or, où fume la liqueur Marcela Huerta Je me réveille un dimanche... Je me réveille un dimanche et ça sent la levure chaude, alors elle doit être en train de faire du pain. Philippe Desportes Sonnet À pas lents et tardifs tout seul je me promène, Et mesure en rêvant les plus sauvages lieux ; Et, pour n’être aperçu, je choisis de… Célie Diaquoi-Deslandes Films Matin. Ciel bleu. Nuages légers. La montagne. Les arbres. Les fleurs. Le soleil derrière la montagne Maurice Maeterlinck Hôpital Hôpital ! hôpital au bord du canal ! Hôpital au mois de Juillet ! On y fait du feu dans la salle ! Patrice Desbiens Je me souviens d’une station wagon... Je me souviens d’une station wagon qui coupe la nuit qui ouvre la nuit du nord comme un couteau de chasse ouvre sa proie Charlotte Delbo Prière aux vivants pour leur pardonner d’être vivants Vous qui passez bien habillés de tous vos muscles un vêtement qui vous va bien qui vous va mal qui vous va à peu près vous qui passez animés d’une vie tumultueuse aux artères Guillaume Apollinaire Si je mourais là-bas... Si je mourais là-bas sur le front de l’armée Tu pleurerais un jour ô Lou ma bien-aimée Et puis mon souvenir s’éteindrait comme meurt Jean Dominique Chanson Le bateau sentait le thé Quand nous traversions la mer, À deux, à trois, pour aller Jean de La Fontaine L’âne et le petit chien Ne forçons point notre talent, Nous ne ferions rien avec grâce : Jamais un lourdaud, quoi qu’il fasse, Géo Norge La grande brosse Ce sera La grande Brosse. Plus de rats Robert Desnos L’éléphant qui n’a qu’une patte L’éléphant qui n’a qu’une patte A dit à Ponce Pilate Vous êtes bien heureux d’avoir deux mains, Alphonse Piché Greniers Puisque voici Ma Dame Lune Par les lucarnes des maisons, Voici pour nous bonne fortune, Jean-Sébastien Larouche Ladyshave gri-gri Certitude de solitude. Que je niaiserais. Totalement seul ce soir. Pamphile LeMay Le castor et le loup-cervier Un castor, bon enfant, un jour prêta l’oreille Aux paroles d’un loup-cervier. Il s’agissait d’éteindre une haine bien vieille Pagination « First Première page ‹ Previous Page précédente 1 2 3 4 5 6 Next › Page suivante Last » Dernière page Langue Français