Recherche Catégories - Tout -Maximum: 25 versCanadaAvant le 21e siècle21e siècle Niveau scolaire 1e à 3e sec./7e à 9e année 4e sec. au cégep 1/10e à 12e année Trier par Au hasardNouveauxPar popularitéA -> ZZ -> A Appliquer Alfred Garneau Vent du ciel Pâle, elle cria : « Jean ! » du seuil de la chaumière. Lui, chantait dans les ors lourds des épis penchants. Midi de son haleine assoupissait les… Alain Grandbois Est-ce déjà l’heure... Est-ce déjà l’heure Ma tendre peur Est-ce l’heure l’heure Maurice Maeterlinck Âme de nuit Mon âme en est triste à la fin ; Elle est triste enfin d’être lasse, Elle est lasse enfin d’être en vain, Pamphile LeMay Le castor et le loup-cervier Un castor, bon enfant, un jour prêta l’oreille Aux paroles d’un loup-cervier. Il s’agissait d’éteindre une haine bien vieille Louise Labé On voit mourir... On voit mourir toute chose animée, Lors que du corps l’âme subtile part : Je suis le corps, toi la meilleure part : René Philombe Tombe des morts ! Tombe des Morts ! Encore cette odeur de sang sous mon ciel Innocent. Émile Deschamps Le roi des aulnes Qui donc passe à cheval dans la nuit et le vent ? C’est le père avec son enfant. De son bras, crispé de tendresse, Laurent Drelincourt Sur le soleil Flambeau de l’Univers, charmant Père du Jour, Globe d’or et de feu, Centre de la Lumière ; Admirable Portrait de la Cause première ; Benjamin Péret Allô Mon avion en flammes mon château inondé de vin du Rhin mon ghetto d’iris noir mon oreille de… Fabre d’Églantine L’hospitalité Il pleut, il pleut, bergère, Presse tes blancs moutons ; Allons sous ma chaumière, Marie Uguay Il existe pourtant... Il existe pourtant des pommes et des oranges Cézanne tenant d’une seule main toute l’amplitude féconde de la terre Alexis Lefrançois rencontré le lilas... rencontré le lilas rencontré la nana salut lilas salut nana mangé le lilas mangé la nana J.R. Léveillé Abscisse Voyage dans la parole Où trouver, moi, François Villon L’épitaphe de Villon en forme de ballade Frères humains, qui après nous vivez, N’ayez les cœurs contre nous endurcis, Car, se pitié de nous pauvres avez, Patrice Desbiens La pluie me suit La pluie me suit. Je fuis comme un bruit. Le bruit s’éloigne de sa naissance. Alfred Garneau Mon insomnie Mon insomnie a vu naître les clartés grises. Le vent contre ma vitre, où cette aurore luit, Souffle les flèches d’eau d’un orage qui fuit. Anthony Phelps Je continue ma lente marche Je continue ma lente marche de poète à travers les forêts de ta nuit province d’ombre peuplée d’aphones Ferdinand Ramuz Machine L’homme est en haut de son siège, porté magnifiquement au-dessus des choses ; la ligne qu’il trace avec ses épaules Max Elskamp Dans le commun des jours - III Journées dans des jours Vécus à peu près, Heures sans amour Charles Baudelaire Au lecteur La sottise, l'erreur, le péché, la lésine, Occupent nos esprits et travaillent nos corps, Et nous alimentons nos aimables remords, Comme les mendiants nourrissent leur vermine. Gaston Miron Je t’écris Je t’écris pour te dire que je t’aime que mon cœur qui voyage tous les jours — le cœur parti dans la dernière neige Abdellatif Laâbi Migration Fès, mamie mon imprécatrice chauve aux talons gercés dans la boue de l’hiver Gérald Godin Fins Il manquait quelque chose dans le miroir peut-être les tentures bleues Charles Baudelaire Le chat Dans ma cervelle se promène, Ainsi qu’en son appartement, Un beau chat, fort, doux et charmant. Jean Dominique J’ai lu que les poètes, en Chine J’ai lu que les poètes, en Chine, sont très doux. Et qu’il y en a un qui est mort de la lune ; Et les Chinois ne disent pas qu’il était fou Jean-Pierre Claris de Florian Le grillon Un pauvre petit grillon Caché dans l’herbe fleurie Regardait un papillon Nicholas Dawson Le fleuve n’est pas la mer... Le fleuve n’est pas la mer, pourtant je choisis le chemin du port. Au bout de ces pas, peut-être deviendrai-je aussi porteño que toi. Eudore Évanturel Mon ami Rodolphe Alors que je logeais, bien humble pensionnaire, Au numéro vingt-trois de ce quartier ancien, J’eus longtemps — grâce au ciel moins qu’au… Aristide Bruant Les loupiots C’est les petits des grandes villes, Les petits aux culs mal lavés, Contingents des guerres civiles Hector de Saint-Denys Garneau Portrait C’est un drôle d’enfant C’est un oiseau Il n’est plus là Charles Cros Le hareng saur Il était un grand mur blanc - nu, nu, nu, Contre le mur une échelle - haute, haute, haute, Et, par terre, un hareng saur - sec, sec, sec. Jean de La Fontaine L’âne et le petit chien Ne forçons point notre talent, Nous ne ferions rien avec grâce : Jamais un lourdaud, quoi qu’il fasse, Dyane Léger Avant que tout éclate en morceaux Avant que tout éclate en morceaux j’aimerais écrire dans ta main un tout petit poème Paul-Marie Lapointe Barque funéraire barque funéraire sans rame avec le mort étendu sur une table basse Alphonse de Lamartine L’automne Salut ! bois couronnés d’un reste de verdure ! Feuillages jaunissants sur les gazons épars ! Salut, derniers beaux jours ! le deuil de la nature Henri de Régnier Odelette I Un petit roseau m’a suffi Pour faire frémir l’herbe haute Et tout le pré Herménégilde Chiasson Outremer Je resterai avec vous jusqu’à l’heure émouvante où votre cœur sera devenu un continent glacé dans le grand moment perdu de la route. Jean-Sébastien Larouche Ladyshave gri-gri Certitude de solitude. Que je niaiserais. Totalement seul ce soir. Jacques Rancourt Granit après la pluie Pierre contre pierre épouse contre époux nous nous sommes prêté force Charles Leconte de Lisle La prairie Dans l’immense Prairie, océan sans rivages, Houles d’herbes qui vont et n’ont pas d’horizons, Cent rouges cavaliers, sur les mustangs sauvages, Pagination 1 2 3 4 5 6 Next › Page suivante Last » Dernière page Langue Français