Recherche Catégories - Tout -Maximum: 25 versCanadaAvant le 21e siècle21e siècle Niveau scolaire 1e à 3e sec./7e à 9e année 4e sec. au cégep 1/10e à 12e année Trier par Au hasardNouveauxPar popularitéA -> ZZ -> A Appliquer Géo Norge La grande brosse Ce sera La grande Brosse. Plus de rats Jean de La Fontaine L’âne et le petit chien Ne forçons point notre talent, Nous ne ferions rien avec grâce : Jamais un lourdaud, quoi qu’il fasse, Martial de Brives Les soupirs d’une âme exilée Je vis, mais c’est hors de moi-même, Je vis, mais c’est sans vivre en moi ; Je vis dans l’objet de ma foi André Breton L’union libre Ma femme à la chevelure de feu de bois Aux pensées d’éclairs de chaleur À la taille de sablier Robert Desnos J’ai tant rêvé de toi J’ai tant rêvé de toi que tu perds ta réalité. Est-il encore temps d’atteindre ce corps vivant et de baiser sur cette bouche la naissance de la voix qui m’est chère ?… José Maria de Heredia Les conquérants Comme un vol de gerfauts hors du charnier natal, Fatigués de porter leurs misères hautaines, De Palos, de Moguer, routiers et capitaines Jacques Chessex Tu dors tête claire Le vent parle dans la toison brouillée D’un arbre au front d’argent qui brille, Un tilleul jeune au seuil de l’ombre Jean Cocteau Voici l’âge Voici l’âge des fous charmants. Tu as leur âge. Es-tu fou ? Voici l’âge du tohu-bohu. Paul Verlaine Je ne sais pourquoi... Je ne sais pourquoi Mon esprit amer D’une aile inquiète et folle vole sur la mer. Mohammed Dib Contre-Jour Les oiseaux apparaissent, S’allume une flamme Et c’est la femme ; Alfred Desrochers Hymne au vent du Nord Ô Vent du Nord, vent de chez nous, vent de féerie, Qui vas surtout la nuit, pour que la poudrerie, Quand le soleil, vers d’autres cieux, a … Albert Lozeau La poussière du jour La poussière de l’heure et la cendre du jour En un brouillard léger flottent au crépuscule. Un lambeau de soleil au lointain du ciel… Alphonse de Lamartine Le lac Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges Marcela Huerta Je me réveille un dimanche... Je me réveille un dimanche et ça sent la levure chaude, alors elle doit être en train de faire du pain. Hector de Saint-Denys Garneau Portrait C’est un drôle d’enfant C’est un oiseau Il n’est plus là Robert Desnos L’arbre qui boit du vin L’arbre qui boit du vin aime qu’on dorme dans son ombre comme les cerfs et les lapins François Coppée Ruines du cœur Mon cœur était jadis comme un palais romain,Tout construit de granits choisis, de marbres rares.Bientôt les passions, comme un flot de barbares,L’envahirent, la hache ou la torche à la main. Jean-Paul Daoust Lunettes de soleil Il met ses lunettes de soleil Un hijab pour son âme Pour stopper son cri de détresse Charles Baudelaire L’invitation au voyage Mon enfant, ma sœur, Songe à la douceur D’aller là-bas vivre ensemble ! Yambo Ouologem Ni connu ni cru Ni connu ni cru Ni compris ni cherché Oui Maurice Maeterlinck Âme de nuit Mon âme en est triste à la fin ; Elle est triste enfin d’être lasse, Elle est lasse enfin d’être en vain, Émile Verhaeren Cuisson du pain Les servantes faisaient le pain pour les dimanches, Avec le meilleur lait, avec le meilleur grain, Le front courbé, le coude en pointe hors des manches, Victor Hugo Ô jeunes gens… Ô jeunes gens ! Élus ! Fleurs du monde vivant, Maîtres du mois d’avril et du soleil levant, N’écoutez pas ces gens qui disent : soyez sages ! Étienne Jodelle Comme un qui s’est perdu... Comme un qui s’est perdu dans la forêt profonde Loin de chemin, d’orée et d’adresse, et de gens : Comme un qui en la mer grosse d’horribles … Catulle Mendès Le marché de la Madeleine Debout ! le soleil caresse nos draps. Que ne suis-je né près de Mytilène ! Allons respirer l’odeur des cédrats Paul Scarron Le chemin du Marais au faubourg Saint-Germain Parbleu bon ! je vais par les rues. Mais je n’y vais pas de mon chef, … Charles Baudelaire Au lecteur La sottise, l'erreur, le péché, la lésine, Occupent nos esprits et travaillent nos corps, Et nous alimentons nos aimables remords, Comme les mendiants nourrissent leur vermine. France Daigle Sur les traces de Marianne Godbout, cordonnière et savetière cuir rouge peau verte soupe aux pois jaunes du Québec Pierre Morency Au centre de notre vie je gravite non encore né non encore formé Un jour j… Rina Lasnier L’arbre J’avais un grand arbre vert Où nichait mon enfance ailée, Un arbre grand troué de lumière Georges Desportes Transfiguration Je me suis levé je suis debout dans le soleil et je marche je marche à la vie à la lutte à la victoire Patrice Desbiens La pluie me suit La pluie me suit. Je fuis comme un bruit. Le bruit s’éloigne de sa naissance. Henri de Régnier Odelette I Un petit roseau m’a suffi Pour faire frémir l’herbe haute Et tout le pré Robert Desnos L’éléphant qui n’a qu’une patte L’éléphant qui n’a qu’une patte A dit à Ponce Pilate Vous êtes bien heureux d’avoir deux mains, Théophile de Viau Contre l’hiver Plein de colère et de raison, Contre toi, barbare saison, Je prépare une rude guerre, Aristide Bruant Fantaisie triste I’ bruinait... L’temps était gris, On n’voyait pus l’ciel... L’atmosphère, Semblant suer au d’ssus d’Paris, Andrée Chedid Au fond du visage Ce n’est pas en une fois Que je saurai ton visage… Pierre-Louis Matthey Connaissance Tel que je suis, dans la livide lumière, Tel que j’écris, mouillé d’un jour lunaire, l’ombre longue de ma main glissant sur le feuillet, Claude Haeffely Shoe-shine Reste la nuit cette boule bleue que tu portais au coin des lèvres nuit-fumée nuit des lilas-rafales et des seins-pendentifs Émile Verhaeren Le moulin Le moulin tourne au fond du soir, très lentement, Sur un ciel de tristesse et de mélancolie, Il tourne et tourne, et sa voile, couleur … Pagination 1 2 3 4 5 6 Next › Page suivante Last » Dernière page Langue Français