Recherche Catégories - Tout -Maximum: 25 versCanadaAvant le 21e siècle21e siècle Niveau scolaire 1e à 3e sec./7e à 9e année 4e sec. au cégep 1/10e à 12e année Trier par Au hasardNouveauxPar popularitéA -> ZZ -> A Appliquer Tania Langlais En prévision du pire la chemise que tu as laissée sous une autre lumière s’approche très près de la menace on la dirait légère une si légère menace autour de l’été d’un côté comme de l’autre Geneviève Amyot Comme tu sembles calme Comme tu sembles calme… Jonathan Lamy Je voulais te dire... je voulais te dire mon visage manque d’un tas de choses qui t’appartiennent * à qui le nez qui les yeux les oreilles André Brochu Portrait en profondeur Le sage visage dans le puits les plis l’ovale à bajoues, Akena Okoko Cadeau de Noël II y a un système aux États-Unis Permettant aux jeunes athlètes Qui ne finissent pas le high school Avec des assez bonnes notes pour être admis à l’université De faire une année de plus Roger Des Roches Je sais, je cherche, je perds Voilà : bercer le mort, je berce le mort, facile, fidèle. Dans le cardinal de l’homme et de la femme. Daphné B. Lorsqu’on abandonne tout... Lorsqu'on abandonne tout, on veut aussi laisser son nom derrière. Il y a longtemps, j'ai connu un Dragon qui voulait changer son nom pour Pierre. Il était concierge au club de tennis où je travaillais. Rodney Saint-Éloi Grand-mère Tida Grand-mère Tida avait une tombe Grand-mère Tida avait une maison elle préférait la tombe à la maison Hector de Saint-Denys Garneau Accompagnement Je marche à côté d’une joie D’une joie qui n’est pas à moi D’une joie à moi que je ne puis pas prendre Pierre Nepveu Dernière visite à Mirabel Maintenant j’avance sur un terrain miné, l’espace m’a tout enlevé et je reprends là où chaque pierre pourrait exploser Émile Nelligan La romance du vin Tout se mêle en un vif éclat de gaîté verte. Ô le beau soir de mai ! Tous les oiseaux en chœur, Ainsi que les espoirs … Pascale Bérubé Tout s’incarne... tout s’incarne difficilement en moi alors que je voudrais surtout écrire de beaux mots, en rose saumoné, et m’en faire des costumes dans lesquels je disparaîtrais enfin, reproduction de cette petite fille noyée sous les manteaux de fourrure des… Alexis Vollant C’est la fin de l’été... C'est la fin de l'été et les familles ne partent peut-être plus mais on t'invite quand même à la fête comme à toutes les années le vent se lève au matin le fleuve reflète le soleil Véronique Cyr Récidives Tu es l’indice la faute rends-toi dans la neige depuis la fuite des nerfs les veines se séparent pendant le sommeil les enfants changent de corps en nageant je recule jusqu’aux rites de passage Patrice Desbiens Je me souviens d’une station wagon... Je me souviens d’une station wagon qui coupe la nuit qui ouvre la nuit du nord comme un couteau de chasse ouvre sa proie Pierre Nepveu Dernière visite à Mirabel Maintenant j’avance sur un terrain miné, l’espace m’a tout enlevé et je reprends là où chaque pierre pourrait exploser Eudore Évanturel Mon ami Rodolphe Alors que je logeais, bien humble pensionnaire, Au numéro vingt-trois de ce quartier ancien, J’eus longtemps — grâce au ciel moins qu’au… Alexis Lefrançois rencontré le lilas... rencontré le lilas rencontré la nana salut lilas salut nana mangé le lilas mangé la nana Hélène Dorion J’ai donc parcouru... J’ai donc parcouru le chemin du monde qui, de l’argile à l’or, va d’une mer à l’autre, relie l’entière Terre. Laure Morali Les orangers... Les orangers des yeux de ma grand-mère une sanguine mélancolie étouffée à grandes brassées d’eau de Cologne un serpent à deux têtes Jonas Fortier les ténèbres transparentes les ténèbres étaient ici hier les terres tranchantes ô joie éteinte quelques arbres poussaient non vers le ciel, mais autour du cou ainsi s’étaient-ils adaptés aux métamorphoses de notre nature France Théorêt Ma mère la folie Je n’accède pas à la folie qui descend sur moi telles les langues de feu. Les images fabuleuses se recomposent. Ma mère la folie s’exerce Jean Marc Dalpé La toune d’Hawkesbury Entre Ottawa pis Montréal, entre la métropole pis la capitale, entre des 9 à 5 comme des cercueils, avec les foremen qui t’ont à l’œil, entre les papiers du bien-être pis leur formule mal de tête, Patrice Desbiens Ma mère me jongle... Je stationne mes Dinky Toys dans le hangar sous le lit et je m'assois à la table. Je mange comme un ange les ailes en bavettes sur les genoux. Ma mère me regarde ses yeux en lunettes sur son Clara B.-Turcotte Aimantés J’ai pris la température de mes rêves; je pouvais enfin toucher aux arbres à papillons, aux forêts de nuages et aux archipels flottants. Tranquillement, une flûte me raconte Edouard Itual Germain Ass8te8ek | Ils sont en bande II Se découvrir Au sommet de nos montagnes Exige de franchir cette frontière Là où nos histoires seront Gravées dans la pierre Grands et petits qui vivez dans les plaines Chloé Savoie-Bernard beauté formol une réceptionniste deux fois une infirmière un membre du personnel soignant et même la médecin alors qu’elle avait les mains Aimée Verret Je ne dis rien... Je ne dis rien, je ne dis rien et tout le monde comprend. Tout le monde a un corps. Les aveugles. Les infirmes. Les morts. Je danse. Couvre ta gorge, tu vas finir par prendre froid. Fiorella Boucher Et j’ai vu ma mère perdre du poids... et j’ai vu ma mère perdre du poids les blessures de ses mains toujours plus grosses j’ai vu ma mère faire des nuits blanches toute une vie sous la table Jean-Philippe Bergeron montréal, 28 décembre 2001 tu descends des bières dans un bar de la rue mont-royal quelques parties de billard, des copains J.R. Léveillé Abscisse Voyage dans la parole Où trouver, moi, Lyne Richard souvent tu observes... souvent tu observes les signes que fait la mer dans l’aveu des solitudes les pas blanchis de fatigue jusqu’où irais-tu pour poser les fragments de ta mémoire Robert Dickson Ottawa je m’apprête à changer une lampe brûlée le son humide d’autos qui passent tout près de l’autre côté du mur des bruits inquiétants Jonathan Roy volière le temps est terne et je suis comme le temps en continuum avec l’espace et je me fais tatouer une hirondelle dans le front pour chaque tour du monde que je fais sur notre beau vieux divan brun Natasha Kanapé Fontaine La migration Je me nommerai Mississippi Assiniboine Azueï Oaxaca j’aurai un nom de reine ma fleur d’origine Je suis j’existe Pierre Nepveu Dernière visite à Mirabel Maintenant j’avance sur un terrain miné, l’espace m’a tout enlevé et je reprends là où chaque pierre pourrait exploser Gilles Vigneault Le pont Vague est le pont qui passe à demain de naguère Et du milieu de l’âge on est des deux côtés Le mur ne fait pas l’ombre et n’est pas la lumière Louise Dupré Je ne trouve pas toujours... Je ne trouve pas toujours les phrases pour décrire la lumière accrochée au rideau de ma chambre ou les notes d’une chanson dans mon oreille Alors je lis des poèmes avec des images Geneviève Blais Je n’ai pas su Je n’ai pas su. T’emplir les mains. Risquer ta peau. Pamphile LeMay À un vieil arbre Tu réveilles en moi des souvenirs confus. Je t’ai vu, n’est-ce pas? moins triste et moins modeste. Ta tête sous l’orage avait un noble geste, Pagination « First Première page ‹ Previous Page précédente 1 2 3 4 5 6 7 8 Next › Page suivante Last » Dernière page Langue Français