Recherche Catégories - Tout -Maximum: 25 versCanadaAvant le 21e siècle21e siècle Niveau scolaire - Tout -Grades 7-9 / Sec. 1-3Grades 10-12 / Sec. 4 & 5 / CEGEP 1 Trier par Au hasardNouveauxPar popularitéA -> ZZ -> A Appliquer Laurent Drelincourt Sur le soleil Flambeau de l’Univers, charmant Père du Jour, Globe d’or et de feu, Centre de la Lumière ; Admirable Portrait de la Cause première ; Louise Marois Géométrie de l’oeil lorsque je te dessine je se dépose emploie la cuisine le salon pour ce que je voudrais multiplier tu portes habits d'étincelles sur la pointe des pieds Maurice Maeterlinck Hôpital Hôpital ! hôpital au bord du canal ! Hôpital au mois de Juillet ! On y fait du feu dans la salle ! Michel Butor Lectures transatlantiques Ramper avec le serpent se glisser parmi les lignes rugir avec la panthère Alfred de Musset Chanson de Barberine Beau chevalier qui partez pour la guerre, Qu’allez-vous faire … Paul Chanel Malenfant Mélancolie Mélancolie. Pour la sonorité du coquelicot. Pour l’étoile de mer sur le rebord de la fenêtre. Pour le cri du coq à l’aube. Pour le sillage de l’avion dans le ciel de juillet. Yves Préfontaine Peuple inhabité J’habite un espace où le froid triomphe de l’herbe, où la grisaille règne en lourdeur sur des fantômes d’arbres. J’habite en silence un peuple qui sommeille, frileux sous le givre de ses mots.… Jacques Rancourt Granit après la pluie Pierre contre pierre épouse contre époux nous nous sommes prêté force Alfred Garneau Vent du ciel Pâle, elle cria : « Jean ! » du seuil de la chaumière. Lui, chantait dans les ors lourds des épis penchants. Midi de son haleine assoupissait les… Louise Dupré Tu es capable... Odelin Salmeron Écume d’étoiles Coeur égrené, je n'aurai jamais un nom prononçable ni n'aurai de tombe où habiter. Étranger, je ne pourrai plus Rita Mestokosho La bibliothèque de la terre | Assi umashinaikana Mon peuple écrivait en marchant mon peuple écrivait sur la ligne de la mémoire de cette façon, son bagage était moins lourd il avait la bibliothèque de la terre avec lui Joséphine Bacon Un soir de pleine lune… | Uetakussiti shakassineu pishimu... Pour Alanis, ma mère Un soir de pleine lune, la mère de tant d’enfants redonne espoir à un enfant une image donne une multitude de couleurs Henri Michaux Dans la nuit Dans la nuit Dans la nuit Je me suis uni à la nuit Jacques Chessex Tu dors tête claire Le vent parle dans la toison brouillée D’un arbre au front d’argent qui brille, Un tilleul jeune au seuil de l’ombre Pamphile LeMay À un vieil arbre Tu réveilles en moi des souvenirs confus. Je t’ai vu, n’est-ce pas? moins triste et moins modeste. Ta tête sous l’orage avait un noble geste, Paul Savoie Le labyrinthe Il n’y a jamais de porte entre moi et l’ombre, jamais de séparation entre tant de pas ; je marche sans cesse Paul Verlaine Charleroi Dans l’herbe noire Les Kobolds vont. Le vent profond Geneviève Morin Seule la beauté nous sauvera de nous-mêmes Nos os puent l'humidité des dizaines de petits vers blancs circulent dans nos foies des vers très vigoureux qui n'hésiteraient pas à grimper le long des jambes du promeneur Guillaume Apollinaire Le Pont Mirabeau Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il qu’il m’en souvienne Léon-Gontran Damas Solde J’ai l’impression d’être ridicule dans leurs souliers dans leurs smoking Nessa Ghassemi-Bakhtiari Éveil ce n'était pas ma terre que je visitais même pas celle de mon père. et pourtant - c'était la première fois que je voyais un regard de reconnaissance chez les autres Philippe Desportes Sonnet À pas lents et tardifs tout seul je me promène, Et mesure en rêvant les plus sauvages lieux ; Et, pour n’être aperçu, je choisis de… Benjamin Hertwig Cueillette de pommes, après l’Afghanistan for all that struck the earth no matter if not bruised or spiked with stubble went surely to the apple-cider heap -Robert Frost Jean-Sébastien Larouche Ladyshave gri-gri Certitude de solitude. Que je niaiserais. Totalement seul ce soir. Fiorella Boucher Et j’ai vu ma mère perdre du poids... et j’ai vu ma mère perdre du poids les blessures de ses mains toujours plus grosses j’ai vu ma mère faire des nuits blanches toute une vie sous la table Caroline Louisseize Je choisis les noeuds Je choisis les nœuds dans ma gorge le risque peut bien en exciter d'autres que moi plus courageux que moi plus capables que moi de chevaucher les menaces de foudre Géo Norge Du temps Dans l’eau du temps qui coule à petit bruit, Dans l’air du temps qui souffle à petit vent, Dans l’eau du temps qui parle à petits mots Roxane Nadeau le fleuve approche… le fleuve approche j’aimerais briller solitaire, pleurer sur le ventre de la païenne jusqu’à m’en écouler le bleu calme de l’iris Bertrand Laverdure Les peines d’amour... Andrée Christensen Chambres rêvantes Les eaux de nuit parlent en rêvant, buveuses d’étoiles, luisantes d’oracles L’eau nocturne entre par les portes sans frapper ni les ouvrir sans demander la permission Ocean Vuong Tête première Không có gì bằng cơm vời cá. Không có gì bằng má vời con. - Proverbe vietnamien Ne sais-tu pas? L’amour d’une mère Véronique Daine Là je fais mon matin... Jean-Philippe Bergeron montréal, 28 décembre 2001 tu descends des bières dans un bar de la rue mont-royal quelques parties de billard, des copains Roseline Lambert Prendre nos mesures il faut le dire ta dernière lettre elle se pesait en TONNES Elle écrasait tout dans son grand rectangle noir imprimé : Paul Verlaine Green Voici des fruits, des fleurs, des feuilles et des branches, Et puis voici mon cœur, qui ne bat que pour vous, Ne le déchirez pas avec vos deux mains blanches Kim Doré Je t’écris en retard... je t’écris en retard sur la vérité les feuilles mortes c’est le temps qu’aura mis la noirceur pour sécher dans l’œil percé du cœur ce corps étranger qui nous regarde dormir pareils aux arbres Georgette LeBlanc dehors il y a point deux prusses pareils à la côte ils poussont tordus comme des vieux ou des malades Louise Warren Parfois le silence est tellement tout Parfois le silence est tellement tout qu’on imagine la vie avant le langage et un fond de poussière en dedans de nous le même fond gris qui ralentit le trait et nous fige dans cette masse Omar Alexis Ramos Mictlán Aquí hay un cúmulo de oraciones agónicas que arden en la garganta como el tequila amargo. En Mictlán hubo cosecha de calaveras en flor arrasadas con el soplo de la verdad ramos de luz violenta Language French