Recherche Catégories - Tout -Maximum: 25 versCanadaAvant le 21e siècle21e siècle Niveau scolaire - Tout -1e à 3e sec./7e à 9e année4e sec. au cégep 1/10e à 12e année Trier par Au hasardNouveauxPar popularitéA -> ZZ -> A Appliquer Jean de La Fontaine L’âne et le petit chien Ne forçons point notre talent, Nous ne ferions rien avec grâce : Jamais un lourdaud, quoi qu’il fasse, Akena Okoko Cadeau de Noël II y a un système aux États-Unis Permettant aux jeunes athlètes Qui ne finissent pas le high school Avec des assez bonnes notes pour être admis à l’université De faire une année de plus Laurent Drelincourt Sur le soleil Flambeau de l’Univers, charmant Père du Jour, Globe d’or et de feu, Centre de la Lumière ; Admirable Portrait de la Cause première ; Herménégilde Chiasson Outremer Je resterai avec vous jusqu’à l’heure émouvante où votre cœur sera devenu un continent glacé dans le grand moment perdu de la route. Maurice Maeterlinck Hôpital Hôpital ! hôpital au bord du canal ! Hôpital au mois de Juillet ! On y fait du feu dans la salle ! Gaston Miron Compagnon des Amériques Compagnon des Amériques Québec ma terre amère ma terre amande ma patrie d’haleine dans la touffe des vents Paul Scarron Le chemin du Marais au faubourg Saint-Germain Parbleu bon ! je vais par les rues. Mais je n’y vais pas de mon chef, Ni de mes pieds, qui par méchef Alphonse Piché Greniers Puisque voici Ma Dame Lune Par les lucarnes des maisons, Voici pour nous bonne fortune, Henri de Régnier Odelette I Un petit roseau m’a suffi Pour faire frémir l’herbe haute Et tout le pré Abdellatif Laâbi Migration Fès, mamie mon imprécatrice chauve aux talons gercés dans la boue de l’hiver Martial de Brives Les soupirs d’une âme exilée Je vis, mais c’est hors de moi-même, Je vis, mais c’est sans vivre en moi ; Je vis dans l’objet de ma foi Pierre-Louis Matthey Connaissance Tel que je suis, dans la livide lumière, Tel que j’écris, mouillé d’un jour lunaire, l’ombre longue de ma main glissant sur le feuillet, Aristide Bruant Les loupiots C’est les petits des grandes villes, Les petits aux culs mal lavés, Contingents des guerres civiles Francis Vielé-Griffin Étire-toi, la Vie... Étire-toi, la Vie est lasse à ton côté — Qu'elle dorme de l'aube au soir, Belle, lasse Victor Hugo Ô jeunes gens… Ô jeunes gens ! Élus ! Fleurs du monde vivant, Maîtres du mois d’avril et du soleil levant, N’écoutez pas ces gens qui disent : soyez sages ! Gaston Miron Je t’écris Je t’écris pour te dire que je t’aime que mon cœur qui voyage tous les jours — le cœur parti dans la dernière neige André Frénaud Bon an, mal an Bon an mal an, bon gré mal gré, bon pied bon œil, toujours pareil, toujours tout neuf, c’est toujours vrai, c’est toujours vain, ça persévère, ça s’exaspère, Marceline Desbordes-Valmore Qu’en avez-vous fait ? Vous aviez mon cœur, Moi, j’avais le vôtre : Un cœur pour un cœur ; Anna de Noailles Les rêves Le visage de ceux qu’on n’aime pas encor Apparaît quelquefois aux fenêtres des rêves Et va s’illuminant sur de pâles décors Jacques Brault patience nous ne partirons pas cette banquise neurasthénique porte l’espoir des morts qui ne sont pas nés François de Malherbe Dessein de quitter une dame qui ne le contentait que de promesse Beauté, mon beau souci, de qui l’âme incertaine A comme l’Océan son flux et son reflux : Pensez de vous résoudre à soulager ma peine, Claude Roy Conversation avec un orignal Le sentier qui conduisait au lac dans l’odeur de résine chauffée par le soleil et la marche élastique sur les aiguilles de pin (Le Canada ressemble au Canada J’allai pêcher à la mouche artificielle Nérée Beauchemin La mer Loin des grands rochers noirs que baise la marée, La mer calme, la mer au murmure endormeur, Au large, tout là-bas, lente s’est retirée, Marceline Desbordes-Valmore Les séparés N’écris pas. Je suis triste, et je voudrais m’éteindre. Les beaux étés sans toi, c’est la nuit sans flambeau. J’ai refermé mes bras qui ne peuvent t’atteindre, Gérald Godin Cantouque des hypothéqués Les crottés les Ti-Cul les tarlas les Ti-Casse ceux qui prennent une patate Émile Verhaeren Le moulin Le moulin tourne au fond du soir, très lentement, Sur un ciel de tristesse et de mélancolie, Il tourne et tourne, et sa voile, couleur de lie, Pierre de Ronsard Amours de Marie — Que dis-tu, que fais-tu, pensive tourterelle, Dessus cet arbre sec ? — Las ! passant, je lamente. — Pourquoi lamentes-tu ? — Pour ma compagne absente, Gérald Leblanc Éloge du chiac de jouer dans la langue et d’en rire d’en rêver qu’on find out qu’on communique Robert Choquette Nocturne Je t’attends, ma mignonne au profil de camée. Quand nous serons ensemble et… Jean-Sébastien Larouche Ladyshave gri-gri Certitude de solitude. Que je niaiserais. Totalement seul ce soir. Georges Desportes Transfiguration Je me suis levé je suis debout dans le soleil et je marche je marche à la vie à la lutte à la victoire Philippe Jaccottet Les nouvelles du soir À l’heure où la lumière enfouit son visage dans notre cou, on crie les nouvelles du soir, on nous écorche. L’air est doux. Gens de passage Pamphile LeMay À un vieil arbre Tu réveilles en moi des souvenirs confus. Je t’ai vu, n’est-ce pas? moins triste et moins modeste. Ta tête sous l’orage avait un noble geste, Gérard de Nerval El Desdichado Je suis le Ténébreux, — le Veuf, — l’Inconsolé, Le Prince d’Aquitaine à la Tour abolie : Ma seule Étoile est morte, — et mon luth constellé Joachim Du Bellay L’olive Si notre vie est moins qu’une journée En l’éternel, si l’an qui fait le tour Chasse nos jours sans espoir de retour, Jean Cocteau Batterie Soleil, je t’adore comme les sauvages, à plat ventre sur le rivage. Soleil, tu vernis tes chromos, Yves Préfontaine Peuple inhabité J’habite un espace où le froid triomphe de l’herbe, où la grisaille règne en lourdeur … Marie-Célie Agnant Poème de ma mère la vie avait jeté des paillettes dans ses yeux elle confondait dès lors le soui-manga et l’aigle Hugh Hazelton la danseuse nous regardons la danseuse Guillaume Apollinaire Le Pont Mirabeau Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il qu’il m’en souvienne Langue French